De plus, en 1978 et 1981, le Crédit social, le troisième parti politique néo-zélandais d'alors a obtenu à son tour une bonne partie des suffrages exprimés, soit 16 % en 1978 et plus de 20 % en 1981, mais - ce qui n'est pas rare dans les SMU - n'a remporté que très peu de sièges au parlement, respectivement un et deux, dans une chambre ...